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Les acteurs de première ligne sont le premier point de contact et d’information pour les personnes ayant besoin d’assistance lors de crises migratoires et humanitaires. Bien que motivés par de bonnes intentions, certains, en particulier les nouvelles organisations de la société civile, les bénévoles et autres sympathisants, peuvent manquer de connaissances et d'expérience dans le contexte, notamment en ce qui concerne les risques de traite des êtres humains. Pour combler cette lacune, le Bureau de la Représentante spéciale et Coordinatrice de l'OSCE pour la lutte contre la traite des êtres humains a élaboré un code de conduite qui suggère certaines étapes clés à suivre par les acteurs de première ligne pour garantir que leur personnel soit sensibilisé aux risques de traite des êtres humains et ne contribue pas involontairement à mettre en danger les bénéficiaires ou les collègues. En cas d'incohérence entre les documents traduits, la version en langue anglaise prévaut.

Comme le démontrent toujours les crises migratoires et humanitaires, les acteurs de première ligne sont le premier point de contact et d’information pour les personnes ayant besoin d’aide. Exerçant des métiers variés, allant des organisations de la société civile aux agences de secours internationales et aux organisations internationales, leur priorité, en particulier dans le cadre de l'accueil, est de répondre aux besoins immédiats des personnes, tels que la nourriture, l'hébergement et les soins médicaux. Leurs capacités sont souvent dépassées et il se peut qu’ils ne disposent pas de connaissances et d’expertise spécialisées en matière de lutte contre la traite. Pour combler cette lacune, le Bureau de la Représentante spéciale et Coordonnatrice de l'OSCE pour la lutte contre la traite des êtres humains a élaboré un document de sensibilisation pour attirer l’attention des acteurs de première ligne aux risques de traite des êtres humains, fournir des informations sur les signes et indicateurs de la traite et sur la manière dont traiter les cas présumés d’une manière sensible au genre, adaptée à l’âge et tenant compte des traumatismes. En cas d'incohérence entre les documents traduits, la version en langue anglaise prévaut.

Ce volume présente chronologiquement les engagements de l'OSCE en matière de dimension humaine au cours de ses 30 années d'existence. Il est destiné aux responsables gouvernementaux et aux organisations de la société civile, aux universitaires, aux étudiants et aux praticiens.

Ce volume est organisé de manière thématique en fonction des principales questions liées à la dimension humaine. Il est destiné aux fonctionnaires et aux organisations de la société civile, aux universitaires, aux étudiants et aux praticiens.

Cette fiche d'information fournit des informations clés sur le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme (BIDDH) de l'OSCE, son mandat et ses domaines d'activité.

Ce document est un abrégé de l'Occasional Paper Applying Gender-Sensitive Approaches in Combating Trafficking in Human Beings, basé sur les résultats d'un projet de recherche multi-méthodes, comprenant des enquêtes, des interviews d'experts et des réunions de groupes d'experts menées avec des participants issus de plus de la moitié des États participants de l'OSCE. En conjuguant les voix des survivants, des experts de la lutte contre la traite, des prestataires de services et des forces de l'ordre, ce document offre un compte rendu complet des aspects liés au genre dans la traite des êtres humains. Il fournit également une base de discussion sur les moyens envisageables pour appliquer des approches sensibles au genre. Le rapport explore donc une série de critères liés au genre qui ne sont souvent pas pris en compte dans les stratégies existantes de prévention, de protection et de poursuites judiciaires.

L’objectif de ces directives types est de fournir un outil pratique qui aide les États participants de l’OSCE et les partenaires pour la coopération à mettre en oeuvre des mesures concrètes visant à prévenir la traite des êtres humains dans les chaînes d’approvisionnement. Le document indique la façon dont les États peuvent appliquer des lois et des politiques qui favorisent la transparence et garantissent que la traite aux fins d’exploitation par le travail n’est pas présente dans les chaînes d’approvisionnement publiques et que les travailleurs sont recrutés de façon équitable et éthique.

Ce hors-série, le quatrième hors-série publié par le bureau de la Représentante spéciale, est le fruit de la conférence de haut niveau organisée sous les auspices de l’Alliance contre la traite des personnes sur le thème du travail non protégé, de l’exploitation invisible et de la traite des personnes à des fins de servitude domestique, et accueillie par la Représentante spéciale à Vienne les 17 et 18 juin 2010, et du document d’information qui a contribué au dialogue et aux échanges qui ont eu lieu lors de cette conférence. Le présent document est conçu comme un instrument d’orientation politique à destination des décideurs et des praticiens qui s’occupent de la traite des êtres humains sur le terrain. Il est fondé sur une recherche documentaire approfondie, un travail de terrain rigoureux, et des analyses de cas minutieuses afin de jeter un éclairage sur l’une des formes d’esclavage moderne les plus invisibles. Il tient également compte des observations, des apports et des compétences d’ONG spécialisées, et incorpore les contributions précieuses et l’expérience directe des décideurs et des responsables (notamment les autorités de police, les procureurs, les juges et les diplomates), ainsi que des syndicats, des organisations internationales et des universitaires qui ont participé à la conférence de l’Alliance.

In this issue in French: Message from the President of Kazakhstan Nursultan Nazarbayev; OSCE Summits in changing times; Vienna Document; Transnational threats; OSCE engagement with Afghanistan; Anniversaries.